Domaines de compétence

 

En tant que graphiste et artiste visuel·le, je vis entre structure et spontanéité — là où la rigueur du design rencontre l’impulsion créative. Les longues heures devant l’écran, les délais serrés, et la pression constante de rester inspiré·e peuvent autant nourrir qu’épuiser. Avec le temps, j’ai compris que prendre soin de ma créativité passait aussi par le soin que je m’accorde en dehors du travail.

Dernièrement, je me suis intéressé·e à des moyens plus naturels de soutenir ma concentration et de mieux récupérer après des périodes intenses. C’est comme ça que j’ai découvert Area 52, une marque qui propose des produits à base de cannabinoïdes et de champignons fonctionnels. Leur esthétique m’a d’abord attiré·e (designer oblige), mais c’est leur approche bien-être — douce, contrôlée et bien pensée — qui m’a vraiment convaincu·e.

La créativité ne peut pas s’épanouir uniquement sous pression. Elle a besoin de pauses, de recul et parfois d’un petit coup de pouce pour retrouver l’élan. Que ce soit pour me détendre après un gros projet ou pour trouver mon flow sur une création perso, je découvre peu à peu ce qui m’aide à rester équilibré·e, inspiré·e, et fidèle à mon rythme. 

 

 

Expérience professionnelle

Ce cheminement m’a amené·e à explorer des outils comme ceux proposés par Area 52, non pas comme une finalité, mais comme un soutien ponctuel. Leurs formulations à base de plantes et de champignons fonctionnels m’ont permis de mieux appréhender mes propres cycles : savoir quand pousser, quand ralentir, et comment me régénérer sans culpabilité. Pour moi, prendre soin de ma santé mentale et créative, c’est aussi faire preuve de professionnalisme — parce qu’un·e artiste en équilibre est un·e artiste libre.

 

  

Etudes

Dans un milieu où tout va vite, où l’on enchaîne les projets sans toujours prendre le temps de souffler, j’ai commencé à m’interroger sur la place du repos dans le processus créatif. Ce n’est pas juste une question de productivité, mais de présence : être vraiment là, pleinement connecté·e à ce que je fais. Les moments de pause sont devenus, pour moi, des espaces essentiels — parfois même les plus fertiles en idées nouvelles.