C’est le seul vrai métier que j’ai fait. Et que je sais faire correctement, puisque même pour les emplois alimentaires ou certains boulots d’été, je n’arrivais même pas à valider la période d’essai…Caissière, femme de ménage, plongeuse en cuisine…une véritable empotée pour les travaux manuels !
En environ 7 ans, j’ai été salariée dans différentes entreprises. En CDD, avec prolongements de contrats, le CDI n’étant plus vraiment d’actualité. Et quand bien même, je n’aurais personnellement jamais tenu 10 ans dans la même boîte…Cela m’a donc permis de « voir du pays ». J’ai intégré aussi bien des PME avec quelques dizaines de salariés, que de grands groupes nationaux dont l’influence s’étend à l’échelle mondiale. En passant également par la start-up de 5 employés. J’ai ainsi pu observer différentes ambiances de travail, et me faire une idée confirmée du statut de graphiste salarié.
(Afin de ne pas pointer du doigt mes anciens employeurs, je ne vais pas expliciter les noms des entreprises. Je n’ai cependant rien de méchant à dire sur qui que ce soit ? ).
Mes premières expériences dans le monde du graphisme ont été en contrat de professionnalisation. C’est-à-dire un contrat à mi-temps qui permet de suivre ses études en parallèle. Dans les deux boîtes qui m’ont accueillie, j’y faisait principalement de la communication visuelle. Des réalisations assez variées et créatives !
Dans l’une, beaucoup de photomontages, simulations visuelles et propositions créa. Des deadlines parfois courtes, l’enjeu de devoir s’adapter aux chartes graphiques de différents clients…
C’est le seul vrai métier que j’ai fait. Et que je sais faire correctement, puisque même pour les emplois alimentaires ou certains boulots d’été, je n’arrivais même pas à valider la période d’essai…Caissière, femme de ménage, plongeuse en cuisine…une véritable empotée pour les travaux manuels !
En environ 7 ans, j’ai été salariée dans différentes entreprises. En CDD, avec prolongements de contrats, le CDI n’étant plus vraiment d’actualité. Et quand bien même, je n’aurais personnellement jamais tenu 10 ans dans la même boîte…Cela m’a donc permis de « voir du pays ». J’ai intégré aussi bien des PME avec quelques dizaines de salariés, que de grands groupes nationaux dont l’influence s’étend à l’échelle mondiale. En passant également par la start-up de 5 employés. J’ai ainsi pu observer différentes ambiances de travail, et me faire une idée confirmée du statut de graphiste salarié.
(Afin de ne pas pointer du doigt mes anciens employeurs, je ne vais pas expliciter les noms des entreprises. Je n’ai cependant rien de méchant à dire sur qui que ce soit ? ).
Mes premières expériences dans le monde du graphisme ont été en contrat de professionnalisation. C’est-à-dire un contrat à mi-temps qui permet de suivre ses études en parallèle. Dans les deux boîtes qui m’ont accueillie, j’y faisait principalement de la communication visuelle. Des réalisations assez variées et créatives !
Dans l’une, beaucoup de photomontages, simulations visuelles et propositions créa. Des deadlines parfois courtes, l’enjeu de devoir s’adapter aux chartes graphiques de différents clients…